Trêve de trêve qui n’aura jamais si mal porté son nom, et retour aux futilités primordiales de la baballe.
Après tout, comme disait l’Allemand aux cinq consonnes de suite : « La maturité de l’homme : c’est retrouver le sérieux qu’il mettait au jeu, étant enfant. » Et ouais : bim ! Une sentence à faire péter le 18/20 au bac de philo. Messieurs-dames, on l’attend fébrilement chaque année. Il est là. Joie et allégresse dans les foyers, le Soporifico © nouveau est arrivé.
Quelques commentaires parfaitement dispensables sur notre adversaire du jour :
– Un match qui « envoie du rêve » ? Méfiance. Chez nous, ça veut juste dire qu’on va pioncer en moins de cinq minutes et que les « Bordelais » sont en réalité des « borde-les ».
– Connards TNTisés obligent, les contrôles d’identité sont renforcés. L’humanité touche-t-elle le fond quand on lui demande ses pas pied ? #humourdepédiluve
– Interdire les supporters de déplacement, je trouve la décision déplacée.
– Dura lex, sed lex : pas de bouffeurs de canelés à Rennes. La police prévient : tout porteur de pull noué sur les épaules qui se déplacera avec son club sera interpellé. Amalgame et guerre du golf.
– Bordeaux : leur patron est jupé, leur pinard a une belle robe, le nom de leur département veut dire « bien gaulée ». A priori, ça ne devrait pas être trop compliqué pour nos Rouge de les trousser.
– En même temps, c’est difficile de faire front contre des types qui arborent des « tu niques bleu Marine ».
C’est tout pour moi.
Vive la vie.
Vive la fondue de poireaux.
Et vive les terrasses ensoleillées, bordel !