Le Monaco de trop

Le Monaco de trop

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Rennes 2-2 Monaco. Face à une équipe pourtant pas franchement princière, les Rennais concèdent un match nul frustrant. Mais les jambes étaient trop lourdes et les têtes trop embrumées de fête pour résister.

Passée la première mi-temps euphorique, les Rouge et Noir ont subi le contrecoup de leur week-end festif et n'ont pu glaner la victoire. Qu'importe, la fête était toute de même belle.

Voici ce qu'il fallait retenir (ou pas) :

 

Les images du match :

1994, 2019 : 25 ans après, nous y sommes de nouveau.

 

Le tournant du match :

Si Bourige mettait ce 3e but à l'entame de la deuxième période, les Monégasques ne seraient sans doute jamais revenus. Mais on lui pardonne, la fête avait été intense samedi apparemment...

 

La stat à retenir :

2002.

C'est l'année de naissance de Camavinga, titularisé pour le première fois en Ligue 1 et qui a éclaboussé la rencontre de son talent. Ce n'est que le début, mais le club tient assurément un potentiel cador. D'ailleurs, l'ovation que lui a réservée le Roazhon Park ne trompe pas. 

 

Le coupable idéal :

Jean-Eudes Aholou.

Il croyait avoir fait le plus dur avec un carton jaune à la 35e - bel hommage - puis en défonçant Da Silva quelques minutes après. Mais point de rouge, il a malheureusement été sorti à la mi-temps.

 

L'info (in)utile :

On croyait bien tenir notre première victoire sous l'arbitrage de M. Wattelier, jusqu'à Falcao. Hein @BallonSurLaN12 ?

 

La zone mixte :

Benjamin Bourigeaud :

"J'aurais vraiment voulu marquer ce troisième but pour nous mettre définitivement à l'abri, mais c'est pas facile de cadrer quand on voit flou depuis samedi soir !"

 

Le portrait chinois breton du match :

Si ce match était...

  • Une galette-saucisse : Celle que tu engloutis au lendemain du mariage de ton pote breton, qui a fait venir des bilig exprès. Rien de tel pour soigner une gueule de bois.
  • Une ville : Plancoët. Parce que là, on a vraiment besoin de boire de l'eau, surtout plus d'alcool.
  • Un lieu rennais : La Piverdière. Séance de kiné et de repos pour tout le monde.
  • Une boisson : Tourtel Twist. Sans alcool, la fête n'est pas plus folle, mais elle l'a un peu trop été.
  • Un objet : Un paracétamol. Pour faire passer tout ça.

 

La chanson du match :

Plus que jamais.

 

Kenavo,

Marco Grossi